Ophélie Grevet nous met face à la Terreur. Cette période historique, que nous n'aimons pas trop questionner, nous français vivant dans le pays des "droits de l'Homme". Mais c'est là tout son art romanesque, elle choisit d'observer cette histoire au travers du regard d'un enfant. Martin a treize ans et demi, il traîne ses guêtres un peu partout dans les rues de Paris. Il n'aime pas l'école, il préfère dessiner. Au lieu des rues, des coulées de sang, de la guillotine, il va trouver sa voie. Au hasard des croquis et des rues macabres, il va rencontrer un grand chien et une grande figure de la Révolution...