Le café ébahi De tables et de lumière Le voyageur assis Au fond et qu'indiffère La valse du garçon Glissant de table en table Apportant les boissons Butant sur un cartable Du chaos généré Rien qui ne l'indispose Le voyageur pressé Sur la table repose L'addition, le pourboire Et le voilà parti Le café ébahi Disparaît dans le noir.