Dans le cadre de l'ouverture des frontières et de la dépression économique, les b>syndicats se comportent de manière différente. Le nombre de leurs adhérents ne détermine en aucun cas leur capacité à peser sur la vie sociale de leur pays. Celle-ci résulte davantage d'un climat propre à chaque Etat mais aussi d'évolutions globales importantes, mettant en difficulté les organisations de défense des salariés sans les laisser entièrement démunis.