Sur l'humus du passé Les plantes ne poussent que grâce aux plantes mortes qui les ont précédées. L'auteur a voulu démontrer que par analogie, les êtres humains développent leur vie sur les marques laissées par leur propre histoire, leurs expériences. C'est la complexité, la richesse d'un être humain qu'un dicton exprime en énonçant : "Lorsqu'un homme meurt, c'est une bibliothèque qui est détruite". Dans Sur l'humus du passéPierre Chocquet nous propose une réflexion sur le temps, la vie, l'amour et l'amitié afin de nous montrer que certains sentiments laissent une trace indélébile.