Suite de Souvenirs d'enfance, Mes jours heureux nous fait revivre au fil des pages les quatre cents coups de Philippe Ducourneau pendant ses grandes vacances en pays nivernais. Les personnages ont bien sûr vieilli, mais les histoires au nombre de cinquante et une sont toujours aussi croquignolesques les unes que les autres et racontées avec beaucoup d'humour. Avec un regard un peu nostalgique des tranches de vie de personnages qui ont vécu dans les années soixante-dix, il relate des traditions oubliées de la paysannerie, véritable ode à la beauté et à la contemplation de la nature.