Ce recueil fait suite au premier Arabesques en 240 caractères, le second d'une série de trois. Toujours écrit sur le réseau social Twitter, limité par les caractères cette fois-ci 280, il traduit l'état d'âme de son auteur, chaque jour, par ses contacts avec les uns et les autres, les ressentis, les images, les partages, les peines, les joies, l'amour et l'amitié.