Stupéfiant récit de corrida. Sang et Lumières n'est pas seulement un roman tauromachique. Dans les plis de l'habit de lumière de Ricardo Garcia - le "Greta Garbo masculin" des arènes, l'ange perforé aux poignets de verre - se cache un autre drame : l'intense solitude d'un dieu déchu, les préparatifs de son fier suicide sur le sable des arènes.