Je t'aime dans un étrange monde qui appartient aux dieux grecs. Et ainsi viennent les retrouvailles, avec la poésie qui plaît tant aux maîtres de l'Olympe. Je rêve de lire un livre où la poésie ressemble étrangement à la vie. Elle répond à la question du matin, posant ses ailes sur le temps, le vieillard fut peut-être ce que tu es. La première fois que je t'ai vu, j'ai senti le silence de ton âme, le torrent de vie. Si un jour tu pars, de l'autre côté, tu seras accueilli avec des rameaux de lauriers car tu es une pure merveille, et parfois j'ai le sentiment de ta beauté à chaque fois où je pense à toi... tout le temps.