Et si nous parvenions à créer ce monde où chacun pourrait y exprimer ses sentiments, aussi singuliers fussent-ils, sans craindre le rejet impalpable mais évident d'une société réduisant irrémédiablement l'Etre au "paraître", à une " norme" imposée par le silence dans le néant absolu des relations humaines ? "Miss Terre Happy" ne serait donc plus ainsila maîtresse abjecte tapie dans l'ombre céleste, d'une caste soumise entre le pouvoir et la peur ! -