Portraits intimes met en avant l'enfance. Plus particulièrement l'enfance et le mensonge. Ou plutôt, les répercussions de mensonges subis pendant l'enfance sur notre construction, et ce, tout au long de notre vie. Dans ce texte, nous découvrons, d'une part, des récits assez légers avec le mensonge du Père Noël ou de la petite souris par exemple et, d'une autre part, des récits plus lourds comme la tentative de suicide d'un proche ou encore le mensonge familial. Ces portraits sont le reflet de l'enfance... Ses joies, ses larmes, ses souffrances, ses fragilités, ses traumatismes, ses mensonges. Enfance(s) et mensonge(s) sont donc les maîtres-mots de ces portraits intimes.