"Gustave a souvent donné une explication plausible aux marques de violence que l'on décelait sur son corps. Une fois il s'était cogné, une autre fois il avait lâché la cafetière, une autre fois il était tombé sur le râteau. Et je l'ai toujours cru. J'aurais dû avoir la puce à l'oreille... " Gustave multiplie de supposées maladresses, ce qui inquiète ses proches. En effet, d'un naturel tranquille et adroit, il justifie ses brûlures et ecchymoses par une gaucherie qu'on ne lui connaît pas. Que cache-t-il ?