Perec s'est inspiré du jeu d'échecs ; Forlani, quant à lui, a préféré le Monopoly. C'est donc d'un quartier de Paris à l'autre que nous suivons ses pérégrinations aussi improbables que convaincantes de crève-la-faim magnifique, et ses divagations d'héritier italien des traditions parisiennes... On retrouve, miracle ! l'ébulition littéraire et artistique qui fit la grâce de notre capitale.