On ne lapide pas Satan avec les mains pleines de sang questionne la conscience universelle sur le péril jihadiste qui ébranle le monde contemporain, en cette période critique de son Histoire, en proie au choc des civilisations ; matérialisé par la véritable guerre froide et sanglante que se livrent l'Occident judéo-chrétien et le monde arabo-musulman. Le poète propose, comme des bouées de sauvetage : l'amour du prochain, la paix et la fraternité entre les peuples, pour sauver l'humanité entière du naufrage collectif. La Terre est un joli bouquetComposé de fleurs multicoloresUnies dans la douleurUnies par le destinDepuis Mathusalem... Le monde est un festin de DieuOù sont conviés tous les peuplesDe la TerreLa Terre est un merveilleux tableauUne énorme boule bleueOù sont disposéesHarmonieusementDes couleurs.