La surface de nos écrans porte l'espace où s'inscrivent les données, nos vies parfois y adoptent des formes à la poésie déroutante. Des phrases perdues, récupérées, disséminées dans des labyrinthes de pixels. Des voyages immobiles qui mêlent signes et silences, fragments de mémoire et échos du monde. " Mélancolie des données " donne à lire cette poésie, viscérale et verticale, née des bouleversements de l'âge virtuel, qui a recours aux événements de notre époque.