Le héros n'a pas de nom et c'est bien ce qui le tourmente. Il passe la rubrique des suppositions évidentes et, constatant qu'il n'a pas de corps, c'est avec humour qu'il se passe à tabac afin de comprendre son état. Mort ? Esprit ? Il erre dans un silence feint - il ne cesse de s'entretenir avec lui-même - et épie la vie, horribles coulisses où l'amour torture sa raison, son seul attribut.