Nous allons tenter, au travers des pages qui vont suivre, de brosser un tableau, non de croyances simples, mais, d'un courant infrahistorique, voire d'une légende vivante qui se meut "reptilignement" depuis des millénaires dans l'ombre, décrié et maudit tel le génésique Serpent, pourchassé et nié, mais toujours renaissant comme le dieu Priape1. Toutefois, malgré le titre, nous ne composerons pas non plus une symbolique nouvelle ou surannée du serpent.