Devra-t-on continuer à parler des sectes pour évoquer toute croyance en dehors de quelques normes reconnues ? La thèse est, ici, de convier le lecteur à un déplacement des préoccupations pour aborder la pratique du croire à travers une analyse psycho-criminologique qui s'attache à définir le fondement criminel de l'activité sectaire, dans le quotidien, à partir de deux notions, le lien sectaire, le travail sectaire. Les exemples sont empruntés aux témoignages les plus connus.
C'est un guide d'identification pour tous ceux qui sont confrontés aux retombées psychologiques, juridiques et sociologiques de pratiques sectaires du lien social.