Ces 146 chansons (auxquelles il convient d'ajouter 12 chansons "non traduites" , supercherie oblige ! ) se présentent comme la prétendue traduction de poèmes composés par une certaine Bilitis, qui, à l'époque de Sapho (VIe siècle avant notre ère), serait venue de sa Turquie natale, à Mytilène, pour finir ensuite son existence à Chypre comme courtisane. Chacune des trois grandes sections du livre raconte une étape de la vie de Bilitis. Ce livre est notamment remarquable par l'audace de sa peinture de l'amour et, plus précisément, de la sexualité féminine.