Si les épreuves qui attendent les hommes sont incomparables à la situation actuelle qui n'est de l'ordre que du simple désagrément, il nous est offert une précieuse (et unique ? ) occasion de voir dans ce ' virus couronné ' (ainsi est son nom) une possibilité qui nous est offerte de penser enfin notre condition dans son exhaustivité. Et si je suis amené à rédiger ce texte en ce jour du Vendredi Saint, à savoir le jour où Jésus-Christ fut emmené par les juifs devant Pilate pour y subir Sa Passion et remettre à la neuvième heure Son Ame à Son Père, c'est qu'une analogie capitale doit être faite. ' Voici que je viens bientôt : tiens ferme ce que tu as, afin que personne ne ravisse ta couronne. '