Le romancier Gaston Leroux a imaginé, dans son Fantôme de l'Opéra de 1910, un dispositif inédit où se font face art lyrique et art d'écrire, monstruosité légendaire et beauté archétypale. Ainsi le présent essai documente-t-il l'érotique mêlée des décors et des corps, au travail dans cette ode à la disgrâce.