La poésie ou la prose apparaît à tous égards l'une des meilleures approches pour traduire notre foi. D'autant plus qu'avec force et puissance, la foi transforme les gestes et actes d'ici-bas et les charge de significations. Curieusement, en Côte-d'Ivoire, on a coutume de dire qu'on ne mange pas les ponts ! Le plus grave c'est qu'on ne va pas au-delà de cette assertion pour traduire avec justesse ce que renferme l'ouvrage, encore moins ce qu'il serait capable de faire dans la vie de l'homme.