Envoyé au RSA par la gauche, déclaré par la justice française d'une dangerosité massive, puis enfermé, il n'est plus écouté. Seul en cellule, Yann sans terre se rappelle de son enfance, du temps de son entreprise, de ses engagements dans le sport, le bénévolat, l'humanitaire, la franc-maçonnerie et de sa foi chrétienne. Mais aussi de ses responsabilités aux côtés des ukrainiens pour le rapprochement avec la France et l'Europe en tant que Consul de la région de Lviv berceau du Néonazisme selon Moscou. L'auteur met en parallèle la dénazification des russes en Ukraine et la République française obnubilée par la lutte contre l'extrême droite ainsi que la défense jusque boutisse de la diversité qui ne se rend même plus compte de son ultra violence vis-à-vis des blancs dans la société. Mais l'auteur nous écrit surtout pour les enfants de demain et pour que certains aient un peu de pitié, de compassion pour leurs propres frères qui meurent à côté d'eux dans l'indifférence.