Bien des choses marquent pour longtemps la vie d'un homme. Le manifeste des prismes des malaises dans certaines sociétés a mûri dans la mémoire d'un jeune homme en proie à la vie et à ses drames, à l'instant où, laissant l'adolescence, l'homme doit affronter l'âge mûr. Ce livre aurait pu aussi s'intituler : Mémoire d'une jeune âme, ou Les rayons et les ombres. La démarche de l'auteur n'est pas exclusive, elle relève aussi d'un lyrisme humanitaire et social dans lequel chacun peut se mirer. " Ma vie est la vôtre, votre vie est la mienne ; [... ] ah ! insensé qui croit que je ne suis pas toi. " disait Victor Hugo.