L'histoire du Kazakhstan offre le paradoxe du vide géographique, de cet espace steppique au cœur de l'Eurasie, face au cheminement humain qui, des Scythes aux Soviétiques, a tracé ses sillons.
C'est l'histoire du visible qui se dérobe, de l'oralité vaincue par l'écrit, du nomade sédentarisé, d'une nation aujourd'hui indépendante qui cherche ses racines plurielles.