Christian Soleil s'inscrit ici dans le genre de ce qu'on appelait du temps de Vasari "una vita", tradition qui remonte à Plutarque, plus loin aux Grecs. Léonard de Vinci apparaît devant nos yeux dans une clarté d'homme, de créateur, d'artiste renaissant avec une fraîcheur et une désinvolture qui le sortent des brumes de son mythe et de sa légende, et qui nous bouleversent et nous émerveillent.