" Nathalie m'appela le lendemain à onze heures comme convenu. J'ai alors découvert sa voix craquante de petite fille sage, à qui on donnerait le Bon Dieu sans confession. Pour vérifier sans doute mon identité, car sur le net trainent des malades et des imposteurs, elle me demanda si j'étais cousin d'Anne, qui porte mon nom, et qu'elle avait connue en pension. Vérification faite que nous appartenions bien au même monde. "