La solitude, quoique très redoutée, est peu connue comme un prédateur précurseur du malheur. Quand cette folle tempête monstrueuse se profile à l'horizon, même la classe appartenant à la société civile bourgeoise, administrative, religieuse et traditionnelle perdent les pédales. Silencieusement, elle envahit l'homme de ses sombres pensées, culpabilise sa conscience, noie son coeur dans l'effroi et, une fois, qu'il est intérieurement abattu, que son âme entame sa descente lente, sa chute libre vers la fosse sombre, il se demande alors que faire face à un tel déclin ?