Au XIXe siècle, la philologie restitua les cansos, les vidas et les razos. Les romantiques purent alors s'y référer tout en perpétuant encore une imagerie troubadour de fantaisie. Dans la seconde partie du siècle, le Félibrige reprit ces références en les replaçant dans une histoire nationale.
Au xixe siècle, la philologie restitua les cansos, les vidas et les razos. Les romantiques purent alors s'y référer tout en perpétuant encore une imagerie troubadour de fantaisie. Dans la seconde partie du siècle, le Félibrige reprit ces références en les replaçant dans une histoire nationale.