Le feu apprivoisé n'est-il pas doux ? Le feu sauvage n'est-il pas fascinant ? De ton regard à l'orage le plus violent, il y aura comme toujours cette lumière et cette chaleur. Ce que j'attends de toi : que tu découvres mon feu et que tu en fasses ta clarté et ton ombre. Les anges viendront à nous le chandelier à la main dans ces nuits d'amour baignées par tes yeux doux et fascinants, auquel je réponds par mon sourire, qui par ta royauté, devient quelquefois cosmique.