" Est-ce que les procédures expérimentales que comportent les sciences modernes du vivant peuvent être de fait appliquées à l'humain en tant qu'organisme spécifique ? Qui peut le faire ? Pour quel bénéfice attendu ? Mais aussi a-t-on le droit de le faire dès lors que l'humain ne désigne pas seulement des propriétés biologiques, mais un ensemble de valeurs reconnues sur la scène sociale ? A qui peut-on accorder ce droit ? Et à quelles conditions ? "
Dominique Lecourt