L'auteur se fait observateur acidulé des prétendus bouleversements qui parcourent l'existence d'un héros dont la postérité est cultivée de son vivant ce qui est bien plus roboratif. Cet auteur a trouvé dans son héros sans ne l'avoir jamais rencontré le parfait écho à la formule revisitée sur l'amitié selon Montaigne : "Parce que c'était lui, parce que c'était moi" . Bref, pour ce dernier, Cauda reste le seul maître. La plus grande révérence à lui accorder est sa mise en pièces (de boucher).