Etre " musulman de France " ne doit pas être synonyme de " soumission invétérée ", démuni de toute liberté et d'intelligence. Tout en étant respectueux des lois du " pays-hôte ", il doit l'être, également, vis-à-vis des droits des citoyens. La liberté, précédemment citée, l'affranchit de superstitions et de traditions ancestrales. Elle le conduit vers une nouvelle émancipation et une autonomie retrouvée. Si des tables rondes étaient plus souvent organisées, des perspectives de réponses pourraient être observées sur certaines questions théologiques. Malheureusement, les pouvoirs publics n'ont guère envie de les organiser.