A Grenade, le narrateur visite les lieux hantés par Federico García Lorca : ses maisons familiales dans les villages voisins, ses cafés préférés, les lieux fétiches sur lesquels il a beaucoup écrit, les paysages dans lesquels il aimait à se promener, le lieu même de son exécution. Le parcours du poète, ses sentiments, ses émotions finissent par l'habiter et même l'envahir. Au point qu'il écoute, chaque soir, la voix du poète qui vient lui parler de sa vie. Un hommage appuyé au poète assassiné.