Les poèmes qui se laissent lire en ce lieu syllabique entendent, à leur manière, élucider l'intime secret du poète guyanais Léon-Gontran Damas, de Philippe-Maguillen Senghor (le fils dernier du mystagogue de Joal, Léopold Sédar Senghor) et du chantre de la terre-mère scarifiée, le Sénégalo-Camerounais David Mandessi Diop. Médiatisés par la parole du poème, ils continuent d'être des nôtres, dans l'éternité de l'immédiateté.