Je l'ai tout de suite senti parce que le sol a été ébranlé, le sable a frémi, mes ennemis m'ont cerné de plus près et ils ont jeté sur moi des regards de feu parce que leur colère s'était enflammée. On aurait dit des lions avides de déchirer. Et au bizarre déclic qui m'est parvenu, j'ai su que les paris étaient ouverts pour savoir lequel des otages condamnés passeraient le premier l'arme à gauche.