" Ma Corse se perd dans les limbes... Ma Corse a les yeux du souvenir, de la nostalgie brûlante tant chantée par les poètes : voyage avec grand-mère, femme d'une éclatante beauté, au regard inaccessible. Grand-père était un homme taciturne que j'ai peu connu. Images en noir et blanc : impression étouffante dans une ville qui aurait aussi bien pu être Marseille ou Alger... c'était Bastia, façades grises d'un éventail, tournées vers le soleil et vers la mer... " Paru dans La Corse Votre Hebdo.