L e Luberon de ma jeunesse Dans sa beauté, dans sa rudesse, M'a bercée, m'a bousculée Et vers toi il m'a poussée. Ville vivante, ville animée, Avec ton aide je renais, Déracinée et solitaire Je communie avec la mer. Tu me redonnes l'espérance D'une bien douce survivance Bandol, où, charmant petit coin Je laisse couler mon destin... (escouta sens en agué l'er, toutveire senso regarda, ren dire per l'estagièro invesible e trasparènto que sièu...)