Je ressens chaque sillon de mon être, Chaque millimètre de ma chair, Devenir métal et mécanique, Mon coeur devient une machine, L'autoroute des chimères de flanelle C'est changé en océan de créatures, Où le souffle des poètes se mélange aux ombres D'une nuit aux reflets dorés à l'encre de Babylone,