Au minimalisme de la propre étincelle de l'auteur et par la propriété du langage, Almésophie présente une différence de pensée, non par divergence, mais dans un souci d'expliquer une réponse à laquelle les autres voies ne répondent que partiellement. Aussi comme au tout premier des livres de Sylvain Kovacs, ce dernier ne s'afflige d'aucun dogme, d'aucune morale et se garde bien de dire qu'il est la vérité, si toutefois quelques reflets s'y distinguent. L'auteur maintient que l'amour est le plus grand véhicule de ce qui est nommé ou représenté. Gageons que les étoiles apparaissent une à une dans le ciel aux libertés d'un regard qui dessine son propre visage. Celui-ci en quelque sorte vous offre son sourire. Parmi tous les trésors depuis l'aube des temps resplendit au coeur du soleil cet espoir indicible dont nous naissons vivants. Ainsi ce que l'auteur nous dit c'est : vivez et regardez devant.