Pendant la guerre de 14-18 la mauvaise santé du narrateur, qui s'est encore dégradée, lui évite le front, dont il a des nouvelles par son ami Saint-loup. Il rend compte de profonds changements à Paris, dans la mode, les mentalités : ce qui choquait ne choque plus. Le salon de Mme Verdurin triomphe. Le narrateur constate la terrifiante dégradation physique de tous les gens qu'il a connus. Il craint de ne jamais être capable de rédiger son oeuvre. Mais un faux pas, qui déclenche en lui des sensations éprouvées à Venise, lui révèle la puissance de la mémoire. Il commence alors à écrire et ne vit plus que dans le souvenir, qui le ramène à Combray.