Pierre Bellemare trouve dans les récits XIXe, publiés pour bon nombre d'entre eux dans les revues et les journaux de l'époque, l'occasion de nous faire réentendre une voix qu'on associe volontiers à l'esprit de la narration populaire, et ici, en particulier, à la forme du roman-feuilleton qui permit aux journaux, à partir de 1836, de s'assurer la fidélité de leurs lecteurs et d'en accroître le nombre. Tous les grands romanciers sont passés par là : Hugo, Balzac, Dumas, Eugène Sue...