Au seuil de la mort, un homme malade écrit le récit de sa vie, entre le 20 mars et le 1er avril. Les souvenirs qu'il relate sont une succession de bonnes fortunes qui, immanquablement, e transforment en désillusions, sous forme de coups du sort ou d'occasions manquées. Superflu, de trop, la cinquième roue du carrosse... voilà comment se qualifie le narrateur. Bien qu'à l'évidence, la fin de la narration soit connue du lecteur, celle-ci est tout au long de son déroulement, soutenue par des renversements de situation, des événements inattendus, qui attisent jusqu'au bout la curiosité.