« Le cour de Xavier Grall est trop grand, les feux volés le brûlent. Et quel métier d'écrire ! soupire-t-il l'année 1981 de sa mort, toutes les... > Lire la suite
« Le cour de Xavier Grall est trop grand, les feux volés le brûlent. Et quel métier d'écrire ! soupire-t-il l'année 1981 de sa mort, toutes les virgules du goutte à goutte tombant dans ses veines. Et les chroniques le font vivre. La dernière sera publiée le 10 décembre, la veille même de son départ de la Bretagne bleue où la vie était si jolie. En avril la librairie Calligramme de Quimper avait publié son magnifique Solo, le poème qu'il avait arraché à son emphysème, la supplique du pauvre mortel divin qui ne demande à Dieu que son humble et exacte place. » Extrait de la préface de Roger Gicquel.