Une histoire de la Deuxième Guerre mondiale - Tome 1, 1940, de l'abîme à l'espérance ; 1941, le monde prend feu ; 1942, le jour se lève

La réédition du livre culte de Max Gallo, quatre-vingts ans après le débarquement en Normandie À travers sa formidable série-phénomène Une histoire de la 2e Guerre mondiale, Max Gallo fait revivre les années terribles où s'est joué le destin de la France et du monde. Sous sa plume vibrante, l'Histoire est là, vivante, et ses témoins renaissent. 1940 : après l'attente interminable conçue par Hitler comme un piège dans lequel les armées d'Europe s'enlisent, c'est l'assaut.
La France s'écroule comme un château de cartes, le peuple fuit sur les routes de l'exode. C'est la défaite. Pourtant, l'espérance se lève, au creux même du désastre. Alors qu'en 1941 la guerre devient mondiale, que le monde prend feu et que les premiers juifs sont massacrés, la résistance s'organise. En Europe, en Afrique, en Asie, sur tous les océans, les combattants et encore plus les civils tombent par milliers ; mais, alors que le camp nazi s'enfonce chaque jour un peu plus dans l'infâme, il s'affaiblit.
Dès 1942, de Gaulle, Churchill, Roosevelt et Staline en sont conscients : l'espoir est bien vivant. La victoire devient un rêve accessible. Un récit comme un tour de force, sombre et éblouissant " Un livre furieux et haletant, un roman vrai [...] emporté par une verve impitoyable et douloureuse. [...] La méthode de Max Gallo, celle d'un grand historien populaire, d'un romancier érudit à la voix chaleureuse et au souffle précipité [...] [se] mêle ici [à] [...] l'explosion de rage du Français humilié et de l'humaniste démenti.
Max Gallo vide son sac et part lui aussi en guerre. " Alain Duhamel, Le Point " On connaît la manière de Max Gallo : une science historique sûre, servie par un art inné de la narration et la passion de faire comprendre aux Français leur passé. Une fois de plus, cette technique réussit superbement. D'emblée, le lecteur est rendu témoin direct du drame, tant dans les antichambres ministérielles que sur les routes de l'exode.
" Le Figaro littéraire