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« Septembre était un panaché de rêve. Il y avait l'ouverture de la chasse à tir où nous passions de porteur de carnier à porteur de fusil au fil du temps ; et les chasses à courre dites d'entraînement où, seuls avec les hommes de vénerie, nous éprouvions les sensations grandioses des premiers récris que nous n'avions pas entendus depuis le mois d'avril. Étonnez-vous de ce que les rentrées au collège aient été pénibles et que certains d'entre nous se soient obstinément maintenus dans un rôle de cancre : à force de ne penser qu'à ça. Heureusement, la culture générale dispensée au salon par les adultes, ascendants, oncles et pièces rapportées, dont quelques-uns avaient publié chroniques, histoire et romans, nous avait laissé quelque chose, sans quoi nous aurions pu passer pour des illettrés. »