Biographie de
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Gérard Olivier, poète écrivain né à Paris en 1941
Gérard Olivier né dans une famille modeste, se révèle être au cours de sa scolarité un sujet rêveur, inventif et dissipé qui mène plusieurs actions simultanément et qui choisi délibérément d'entrer dans la vie active, plutôt que de poursuivre ses études.
Après avoir obtenu son CEP, il entre dans une entreprise de décoration, réputée pour la qualité des travaux qu'elle réalise, où travaillent son père et son grand-père, pour une clientèle constituée de grands couturiers, d'artistes, d'antiquaires et de familles fortunées hors du commun.
Ainsi, fait-il d'heureuses rencontres avec des personnalités exigeantes, au goût raffiné, dont le comportement quelque peu extravagant évoque pour lui autant de voies qui mènent de la réalité quotidienne à la quête de la perfection artistique.
Concomitamment à ses activités professionnelles, il fréquente les milieux littéraires et cinématographiques où il fait notamment la connaissance de l'écrivain Charles-Alain Tarrancle, du romancier Jean Guirec, de la poétesse Hélène Desmaroux, du poète Jean-Pierre Rosnay, du peintre Marceau Constantin, du producteur de cinéma Léopold Schlosberg.
Il rencontre également Madeleine Sologne, actrice de théâtre et de cinéma d'une grande rigueur professionnelle et morale, qui l'influence dans ses écrits, et avec qui il se lie d'une fidèle et profonde amitié.
Il participe activement à diverses soirées poétiques : au Musée du Vieux Montmartre, au Club des poètes, au sein de différents cénacles et dans un petit cabaret du Marais où sur des tréteaux de fortune il dit ses poèmes et lit ses proses.
Dans le cadre de l'Association Poévision dont il est Président, il produit et écrit des textes pour des films de court métrage : « Il est mort », « Nameless », « Ces mondes qui passent. ».
Il écrit également des textes pour des diaporamas projetés en public.
Gérard Olivier est publié dans diverses revues et collabore régulièrement pendant une dizaine d'années à l'hebdomadaire de langue française dirigé par Wilfrid Beaulieu : « Le Travailleur » diffusé à Worcester dans le Massachussetts aux U. S. A., aux côtés des signatures de Jean Dutourd et de Paul Guth. Suite à la publication de ses articles et de ses poésies, il participe à de nombreuses émissions radiophoniques et fait quelques apparitions sur les plateaux de télévision.