Il est question depuis longtemps de « théologie littéraire », pour exprimer à la fois une lecture théologique de la littérature et une écriture... > Lire la suite
Il est question depuis longtemps de « théologie littéraire », pour exprimer à la fois une lecture théologique de la littérature et une écriture littéraire de la foi et de la réflexion chrétiennes. Nous avons, d'une part, des auteurs comme Kierkegaard, Baudelaire, Mauriac, Grosjean, Péguy, Bernanos, Char, Beauchau, Bonnefoy. De l'autre des genres littéraires comme le journal, le roman, les réécritures bibliques, le langage mystique, la nouvelle, le language poétique.
Peut-on sacrifier sa foi au pur plaisir littéraire, en s'engageant pour servir la religion, dans les voies qui peuvent lui nuire ? Y a-t-il une affinité entre la théologie et la littérature pour une parole qui ne leur appartient pas et qui se promet à elles ?