De Cocteau, à qui la Table Ronde doit son nom, à Marcel Aymé, de Gheldérode à l'Abbé Pierre, de Jean Paulhan à Dürrenmatt, voici beaucoup de chemins... > Lire la suite
De Cocteau, à qui la Table Ronde doit son nom, à Marcel Aymé, de Gheldérode à l'Abbé Pierre, de Jean Paulhan à Dürrenmatt, voici beaucoup de chemins parcourus, de visages découverts, et c'est au Théâtre dont André Reybaz habite une roulotte, traînant ses masques et son talent depuis trente ans d'un bout à l'autre de la France, que nous devons cette distribution éblouissante faite seulement de têtes d'affiche.