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Face à la criminalité des malades mentaux, les arrière-pensées électoralistes et la dictature des médias orientent davantage les choix politiques que ne le fait la rationalité scientifique. De graves faits divers déchaînent les déclarations électoralistes indécentes. La peur, ainsi alimentée, permet de mettre en place une société de contrôle et de surveillance. Or des solutions existent au plan de l'organisation des soins, mais les propositions actuelles correspondent davantage à des préoccupations sécuritaires que sanitaires.