En écrivant « Si Palogneux m'était conté... », le Père Verchery n'a pas cherché à faire ouvre d'historien. Il a voulu laisser à ses lecteurs... > Lire la suite
En écrivant « Si Palogneux m'était conté... », le Père Verchery n'a pas cherché à faire ouvre d'historien. Il a voulu laisser à ses lecteurs le témoignage de la vie dans son village, telle qu'il l'a toujours vécue. Car c'est du vécu qu'il nous décrit, dans une écriture dépouillée de tous les artifices littéraires, le Père Verchery écrit comme il nous parle, comme il pense. Simplement, de l'évocation de son église, du vieux presbytère, et du petit cimetière, aux coutumes disparues et aux farces juvéniles dont il rit encore, en passant par la découverte (pour les jeunes) - et le souvenir (pour les anciens) - de ces métiers qui ne sont plus, comme le sabotier, le maréchal-ferrant, et le « tialeron », le Père Verchery nous conte son enfance et son amour à faire résonner le nom de Palogneux. Si Palogneux m'était conté, un livre tonique comme un bain de jouvence...